Azael Morte-Lune

Nom : Morte-Lune

Prénom : Azael

Age : 150

De quel âge est votre apparence : 15

Race : vampire

Si vous êtes un vampire : sang pur

Poste : espionne

Physique :
Azael est une vampire effilée et plutôt maigre. Elle n’est pas d’une grande force physique, si bien qu’elle mise sur d’autres de ses atouts pour remplir ses missions.
Sa peau est très pâle, si bien que la nuit, on la croirait blanche, et contraste avec ses cheveux d’un noir pur qui pendent en larges mèches huileuses sur son front et sur sa nuque. Elle est toujours plus ou moins décoiffée, et se plaît à souffler sur les mèches rebelles pendant dans son visage. Ses cheveux lui arrivent à mi-dos et elle ne les attache jamais, sauf en de très rares occasions. Au lieu, elle les enfonce dans la large capuche de sa cape de voyage dont elle ne se sépare jamais. Aussi sombre que ses cheveux, elle a été coupée adroitement, mais dans une grossière étoffe, puis a été brodée avec attention par sa mère, avec quelques fils d’argent. Ainsi vêtue, son visage se retrouve plongé dans l’ombre, se qui dissimule la plupart du temps l’expression de son visage et ne manque pas de mettre ses interlocuteurs mal à l’aise lorsque ceux-ci ne peuvent déterminer son humeur. Seuls visibles, ses deux yeux bleu-vert clair attirent l’attention. Son regard est froid et déterminé.
À ses côtés, bien dissimulés dans les replis de sa cape, sont logées deux fines dagues argentées ainsi qu’un petit poignard, étant incapable de manier une lourde arme.

Caractère :
Azael est très renfermée. Elle ne laisse que très rarement transparaitre l’émotion sur son visage. Elle a tendance à enfoncer ses sentiments au plus profond de son cœur pour ne laisser paraître qu’un masque de glace. Il ne faut pas croire qu’elle est sans cœur, et loin de là. Elle a juste tellement vécut en à peine 150 ans de vie qu’elle a finit par se replier sur elle-même. Seul le sang lui procure une véritable jouissance. Plus jeune, elle brûlait de haine envers les autres races, mais celle-ci a été étouffée lorsqu’elle comprit qu’ils étaient conscients, comme elle, et non du bétail et des ennemis comme l’ont toujours prétendus les vampires plus âgés. Révélation plus ou moins traumatisante pour un vampire, pour qui le sang est si agréable. Elle n’a pas cessé de détester les lycans et à apprécier le sang des hommes, mais elle a été profondément perturbée. Malgré l’impression qu’elle donne, elle sait être généreuse envers ses proches et a un caractère fort. Elle aussi a toujours été très têtue, et ce depuis sa tendre enfance. En de rares occasions, on peut retrouver dans un sourire ou un regard des traces de l’enfant espiègle qu’elle était, l’enfant qui a vieilli trop vite. Elle est la majorité du temps mélancolique, quoi qu’elle n’en laisse rien paraître, et même si elle ne pleure jamais, son cœur lui n’est pas toujours heureux. Il y a des jours où elle voudrait tout lâcher, laisser tomber cette façade devenue trop lourde à porter et s’enfuir loin de tout ce qu’elle a connu. Elle n’est pas suicidaire, loin de là, il lui arrive seulement de remettre en question l’ordre des choses et la suite de sa vie. Dans ses moments là, elle pense beaucoup, mais n’agit que très peu.

Histoire :

Par une morne journée d’automne, Azael a vu le jour s dans les sommets des montagnes d’Alamente. Fille cadette d’une famille de trois enfants, elle a eu une enfance paisible dans la joie et la simplicité d’être parmi d’autres vampires, bien en sécurité dans la chaumière familiale. La vie n’était pas toujours facile dans le petit village, mais elle ne manquait jamais de rien et ses parents lui offraient tout l’amour que l’on porte à sa progéniture. Comme les autres vampires, elle vivait la nuit, tous préférant la fraicheur nocturne à la morsure cuisante des rayons du soleil. À l’aube, avant de s’endormir, sa mère lui racontait des contes féériques où le héros, vampire évidement, menait une quête glorieuse en triomphant des féroces lycans. Sans ne jamais en avoir vu, la petite gamine appris ainsi au travers les contes la haine tenace qui divisait les races. Ou moins consciente de se que sa mère lui inculquait, elle se plaisait à imaginer les monstres sanguinaires se transformant en loup à la pleine lune. Jamais elle ne réalisa où ses parents voulaient la mener, sur les traces de son père, un espion.
Le temps passait et la fillette devint une jolie petite fille, espiègle et rusée, qui avait toujours le sourire aux lèvres. À vingt ans, elle vouait une haine sans limite aux hommes et aux lycans, bien qu’elle n’en ait jamais vu. C’est à cet âge qu’elle se promit plus tard de les éliminer. Son père commença alors à l’initier à l’art du combat, d’abord avec de légers bâtons, puis avec de vieux poignards à la lame émoussée. Elle ne se débrouillait pas trop mal et apprenait vite. Par contre, malgré tous les efforts de son père, elle ne parvint jamais à soulever son épée du sol. Légèrement déçue par cet échec, elle redoubla d’ardeur et apprit ainsi les différentes manières pour tuer rapidement et efficacement. Pour elle, se n’était qu’un jeu, rien de plus. Elle n’avait jamais vu la mort, exception faite pour les créatures sacrifiées lorsqu’au milieu de l’hiver, on célébrait le sacrifice de Karzam.
Deux ans plus tard, elle achevait sa formation d’espionne et à trente ans elle quittait pour la première fois la sécurité des montagnes pour partir en mission en compagnie de son père. Ils se rendirent jusqu’à la frontière commune avec Qualis, surveillant l’arrivée possible de certains hommes. Rien d’alarment ne se produisit et ils ne croisèrent pas âme qui vive dans cette masse dense de végétation.
De retour à son village natal, son père lui offrit un petit poignard bien affuté en lui disant qu’il lui serait bien utile.
Les années s’envolèrent et la fille devint une jeune femme adroite, têtue et enjouée. Elle continuait son métier d’espionne, effectuant maintes petites missions sans quitter la terre de Terze, et sans jamais relever la moindre anomalie. La plupart du temps, ce n’était que de la surveillance aux frontières.
À 60 ans, elle décida de quitter son foyer pour explorer le monde par elle-même. Elle fit ses bagages, et quelques mois plus tard, elle démissionnait temporairement de son poste d’espionne pour partir sur les chemins, à la découverte du continent. Elle ne voyageait que la nuit, ses yeux perçants lui permettant de s’orienter même avec une très faible source lumineuse. C’est ainsi qu’elle se rendit à nouveau à la frontière de Qualis, après avoir en dix ans explorer de fond en comble la terre de Terze qu’elle connaissait maintenant comme le fond de sa poche, des cimes des montagnes de l’Alamente à la sanglante vallée ancestrale. Elle erra pendant plusieurs lunes le long de la frontière, hésitant à s’aventurer en terre inconnue.
Un matin, aux premières lueurs de l’aube, elle entendit des craquements caractéristiques de branches pliant sous le poids d’un être vivant. Tous les sens en alerte, elle s’approcha furtivement et son cœur s’emballa lorsqu’elle aperçu au travers les branchages, pour la première fois, un homme. Ou plutôt une jeune fille. Celle-ci était jeune et ses grands yeux violets fascinèrent la vampire. Elle avait entendu de nombreuses histoires, plus ou moins réelles sur les humains, leurs coutumes, et particulièrement le gout de leur sang. Elle sortit prudemment de sa cachette, une dague à la main, et contourna l’humaine afin de la surprendre par derrière. Son adversaire l’étonna par la rapidité de sa riposte. Elles se battirent ainsi en duel, mais de force presque égale, se fut l’épuisement qui l’emporta sur leur acharnement. Azael passait de surprises en surprises. On lui avait décrit les humains comme de simples animaux, guère brillants et peu développer, mais celle qu’elle venait de rencontrer prouvait le contraire, autant par son habilité au combat que par son regard intelligent, plein de sentiments et de pensées, très différant du regard que peu avoir une bête. Bouleversée, Azael se retira. Elle campa ce jour là dans un arbre, et lorsque la nuit revint, l’humaine était partie, La vampire quitta la région de la frontière. Elle avait besoin de solitude, besoin de réfléchir.
Elle laissa ses pieds la guider durant de nombreuses années au travers la terre de Terze, jusqu’à ce qu’un beau jour, elle retrouve le chemin de son village natal. Elle y apprit la mort de son père, tué en mission par un lycan –enfin c’est ce que l’on supposait. Folle de chagrin, elle s’isola dans la forêt. Les derniers évènements, depuis sa rencontre avec l’humaine l’avaient profondément troublé, remettant en question ses valeurs. Mais un lycan avait tué son père, à elle de reprendre le flambeau. À 140 ans, elle reprenait sa carrière d’espionne, plus décidée que jamais à réussir.

Objets fétiches : le poignard offert par son père

* Comment avez vous connus le forum ? : Par Missana

Ma meilleure ennemiiiiiiiiiiieee XDD Bienvenue à moitié puisque t'as pas fini XD Mais bienvenue quand même XD

Bienvenue cher soeur de race ^^

Bon alors déjà , bien sûr je te laisse terminer ta fiche.

Pour l'instant dans ce que tu as fait , il faut que tu rajoute au moins une ligne/ deux lignes de caractère. Merci d'avance ^^

Voilà c'est finit!
Missa (zut c'est étrange t'appeler comme ça), ennemies pour toujours oui ^^

Tu peux m'appeller Palo c'pas grave Cool

XD
On s'comprend XD

"sa rencontre avec l’humaine l’avaient profondément troublé,"
Ainsi commença la plus belle histoire d'amitié au monde... XDD

Bienvenue officiellement ! Very Happy

Tu es validée , bien que ton apparence devrait être plus vieille. Mais bon , laissons, je vais faire Melhan plus vieille de toute façon.

Tu es vampire ma cher espionne !

Fiche validée